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Les brèves d'André Arnal

André Arnal habite Le Rozier. Après une longue carrière passée à PARIS dans l'édition, la littérature enfantine, il est revenu retrouver ses racines au bord des Grands Causses. Son goût pour les lettres et pour la pédagogie l'amène à s'investir, tant pour aider les jeunes que pour faire découvrir son pays. Il contribue ainsi à l'édition de livres centrés sur les traditions, le folklore, le patrimoine. Pour son plaisir, il écrit. Des contes, des récits, des poèmes.

Voici, avec les brèves d'André Arnal, des tranches d'histoire, curiosités et mémoires.

La tragédie de la Parade Les brigands du bourg
La Luminade L'ogre de Malbouche La fondation du Rozier
Les résiniers gallo-romains Georges FABRE Louis ARMAND

Cliquez sur les photos pour les voir en grand

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La tragédie de la Parade (28 & 29 mai 1944)

La fondation du maquis de Bir- Haheim

Fondé en mars 1943 par un groupe de patriotes qui, depuis 1942, militaient dans l'Armée Secrète, le Maquis de Bir-Hakeim est sans cesse attaqué par les Allemands d'abord en Aveyron, puis dans l' Hérault et dans le Gard, le groupe dont les effectifs croissent sans cesse avec l'afflux des réfractaires au S.T.O rend coup pour coup. Les dirigeants s'entendent alors avec les responsables de la Résistance cévenole pour transporter Bir-Hakeim dans les Cévennes. Traqués comme des bandits, les hommes de Bir-Hakeim ne connaissent point de repos.

En route vers La Parade

Devant la menace d'une attaque imminente et concertée, Barot (le principal responsable) évacue l'Hôtel de Fangas (dans l'Aigoual) dans la nuit du 25 au 26 mai 1944 avec comme point de rassemblement le village de La Parade, sur le causse Méjean ; les hommes partent alors à pied par Cabrillac, le col de Perjuret et se rassemblent à La Borie où ils s'installent le 26 mai 1944 dans la grange de la ferme.

Le 28 mai, au matin, ils sont attaqués par un fort détachement de soldats allemands. Trente-deux maquisards sont tués et vingt-sept sont faits prisonniers. Deux réussiront à s'échapper et à parvenir jusqu'au Rozier d'où ils seront évacués sur Millau, soignés et sauvés.

C'est ce massacre que commémore le monument élevé à La Parade.

Le poème suivant nous rappelle cette tragédie

LE MAQUIS DE LA PARADE ET DE LA BORIE

Ce souvenir toujours reste dans nos mémoires
Les années ont passé, nous vous oublions pas
Vous méritez toujours de rester dans l'histoire
Parade et la Borie sont vos jours de trépas

Plus de soixante ans ont passé, nous vous restons fidèles
Dans nos cœurs s'est gravée cette triste journée
Vous avez disparu, cette date cruelle
Restera dans nos cœurs pour la vie à jamais.

L'officier allemand demanda aux soldats
De fouiller les maisons et de les réunir
Tous au café Arnal où on les enferma
Le curé avec eux fut sommé de venir.

Pendant deux heures et plus ils furent prisonniers
Connaissant l'allemand le curé entama
De longues discussions pour les disculper
Il y réussit enfin et on les libéra

Gardons le souvenir du curé du village
Car c'est bien grâce à lui que les gens du pays
Sont restés tous en vie . Nous garderons l'image
De Maury, le curé, qui a sauvé leurs vies.

Et tous souvenons nous au pied de la stèle
Du nom de ce curé qui fut votre sauveur
Le pays tout entier de la journée cruelle
Gardera pour toujours son souvenir au cœur

Jean PONS.

Jean PONS, alors habitant de Millau, se trouvait au ROZIER le 28 mai 1944 et porta secours aux deux résistants qui avaient réussi à s'échapper et qui, blessés, après avoir traversé le causse Méjean furent secourus au Rozier. Jean PONS retiré avec son épouse dans le Midi de la France auprès de leurs enfants fut le fondateur du Club de la Retraite sportive riche aujourd'hui de près de 300 adhérents de Millau et des environs.

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Les brigands du bourg (1792 - 1802)

Jean Antoine POURQUERY, seigneur du Bourg, village de la vallée du Trébans, affluent du Tarn, contre-révolutionnaire, participa à divers soulèvements royalistes dirigés contre la République naissante .. Condamné à mort par contumace, il quitta son pays et rejoignit les armées étrangères. Entre temps Marc Antoine Charrier, notaire à Nasbinals organisa << l'Armée Chrétienne du MIDI >>. Elle se donnait pour but de ramener le roi sur son trône. Il entra en triomphateur à Marvejols puis à Mende (26, 27 mai 1793 ). D'abord victorieuse à Chanac, mais encerclée de toute part son armée se débanda. Il se réfugia dans l'Aubrac, mais trahi il fut arrêté le 5 Juin 1793, emprisonné à Rodez, jugé, condamné à mort et guillotiné à Rodez le 17 juillet 1793. Il était agé de 38 ans.

Privées de leurs chefs, ces bandes royalistes se tournèrent vers le banditisme ; Les acquéreurs des Biens Nationaux devinrent à leurs yeux des partisans de la République. Ils rançonnèrent, pillèrent, incendièrent et même tuèrent dans plusieurs domaines aveyronnais, lozériens et gardois. Ainsi naquit la bande des Brigands du Bourg, animée par les frères Souldo dit << Meilhou >>. Suite à ses blessures, Pierre Jean Souldo mourra à Rodez en prison le 22janvier 1802. Son aîné Jean, bien qu'il eût feint la folie, fut guillotiné le 31 janvier 1802 à Rodez. Ces deux exécutions marquèrent la fin des Brigands du Bourg.

Les Brigands du Bourg, Pierre Dumas, Marc Vaissière, 1er trimestre 2000, - La Révolution en Lozère, Jean-Baptiste Delon, 1989.

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La luminade

Il s'agit d'une pratique de pêche qui avait cours sur le TARN jusque dans les années 50, pratique ancienne donc, prolifique mais clandestine qui s'exerçait en barque, par nuits totalement noires et qui consistait à attraper le poisson et notamment les truites en les attirant par la lumière. Grâce à un feu entretenu à l'avant de la barque dans une vieille poêle à frire où l'on brûlait des brandons de résine en surplomb de la zone à éclairer afin d'attirer les truites subjuguées par la lumière et qui étaient harponnées à la fourchette munie de plusieurs dents acérées.

Mieux valait alors échapper à la surveillance de la maréchaussée qui traquait les braconniers pratiquant cette pêche à la lumière totalement interdite. Il me souvient dans mon jeune âge avoir été témoin d'altercations pour ne pas dire d'empoignades entre "luminadiers" et gendarmes qui, depuis la rive, étaient le plus souvent impuissants à interpeller les contrevenants. Mais point n'était besoin pour les forces de l'ordre d'identifier les pêcheurs de lumière qui avaient tôt fait de s'esquiver à bord de leur barque savamment guidée par un perchiste au cours d'une progression silencieuse qui les mettait hors de portée, le plus souvent en toute impunité .

En effet "perchiste", "chauffeur" et "harponneur" qui composaient ce singulier équipage étaient le plus souvent connus de la brigade et, à défaut de flagrant délit, en étaient quitte dès le lendemain pour une sévère remontrance nullement dissuasive d'ailleurs.

Une autre pratique tout aussi illicite que la précédente faisait appel à l'épervier, filet lesté de plomb, retenu par une corde et que nos braconniers relevait prestement lorsque quelque truite commettait l'imprudence de se laisser piéger au passage. Cet autre style de pêche était d'ailleurs un secret de polichinelle car il n'était pas rare de voir les dits filets sécher au soleil après usage.

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La fondation du Rozier en 1075

Philippe 1er règne en Ile-de-France depuis 1060; Guillaume, duc de Normandie, vient de conquérir l'Angleterre et de s'en proclamer roi (1066); le grand pape Grégoire VII, monté sur le trône pontifical en 1073, s'apprête à réformer l'Église en combattant la simonie (trafic des dignités ecclésiastiques), et le nicolaïsme (concubinage des prêtres). Aldebert 1er est toujours évêque de Mende : il va couronner sa carrière pae une ultime fondation : celle du Rozier.

De tous les monastères gévaudanais, ce sera le plus méridional. Alors que Sainte-Enimie, la première apparemment de nos fondations, se dressait déjà sur les rives abruptes du Tarn : le Rozier va s'implanter au confluent du Tarn et de la Jonte, au lieu dit Entraygues, << entre les eaux >> des deux rivières.

Ce n'est ni Saint-Victor ni Saint-Chaffre, cette fois, qui prennent en mains la fondation : c'est Aniane, une abbaye bénédictine du diocèse de Maguelone dans l'Hérault. L'église autour de laquelle tout va s'ordonner existe déjà. Elle est consacrée à le Sainte Trinité, à Saint Jean Baptiste et à Saint Saturnin. Depuis 1060, sur le tombeau du martyr de Toulouse on a commencé d'édifier la grandiose basilique romane qui porte son nom abrégé : Saint Sernin. Cette église d'Entraygues appartient à trois frères qui dès 1060 l'avaient donnée avec ses dîmes, ses prémices, son cimetière et son presbytère, sans oublier deux setiers d'avoine et trois mesures de vin, qui devaient servir auparavant à la subsistance du curé. Dans la donation préliminaire de 1060 comme dans l'acte définitif de 1075, tous les seigneurs du voisinage semblent faire assaut de générosité et se présentent fièrement chacun avec un lot.

Dès l'an 1061, un prieur et 6 moines avaient pris possession des lieux, achetant pour y bâtir le monastère, un champ appelé alors "CAMPUS ROSARIUM" et dans lequel ils cultivaient des roses d'où le nom actuel "le Rozier" qui jusqu'à l'époque napoléonienne s'écrivait encore avec un S. Pour arrondir le domaine, le prieur acquérait divers droits sur << les hommes et les mas, les vignes, les champs cultes et incultes >>. Il achetait même les églises de Saint Pierre d'Etripiés (de Stirpis, des Souches), puis celle de Saint Rome de Dolan et en 1160 les décimes du hameau du Luc, aujourd'hui Capluc. Ainsi le prieur et six moines dont plusieurs étaient probablement les fils ou les frères des nobles chevaliers << donateurs >> des vallées du Tarn et de la Jonte qui avaient << juré de ne point troubler les moines dans leurs droits >>.

Les moines du Rosier poursuivirent alors les premières tentatives d'évangélisation entreprise dès le IVe siècle par un prêtre qui construisit la première chapelle Saint-Amat qui aurait été détruite au VIIIè siècle par les Maures ou au Xè siècle par les Hongrois et dont, nous dit l'abbé Solanet, les efforts ne furent guère couronnés de succès tant << le peuple des causses était agreste et sans culture et pour qui Dieu était un inconnu >>. Cela n'alla pas sans de nombreuses difficultés à vaincre, mais les moines, soutenus par les seigneurs - qui au delà de la foi - ne négligeaient pas ce nouvel apport spirituel d'autorité.

Une relative harmonie put ainsi s'établir sous l'ordre moral de la chrétienté, et ce pour plusieurs siècles avant que de nouveaux troubles ne viennent perturber la région notamment l'hérésie cathare et l'inquisition, puis les guerres de religion dont l'église monastique du Rozier construite au XIIe siècle eut à souffrir de nombreuses déprédations et fut remise en état en 1846 sous l'autorité d'un conseil de fabrique après que l'évêque de Mende se fut ému de l'état déplorable de l'édifice.

Bibliographie : F Buffière CE TANT RUDE GEVAUDAN
Association LE ROZIER ENSEMBLE : LE ROZIER, nu village et ses habitants (Parution Mai 2009, en vente en librairie
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Les résiniers gallo-romains

La distillation de la poix fut florissante sur les Causses. Après que les potiers gallo-romains eussent utiliser les troncs des résineux qu'ils ébranchaient sue place avant que de les faire glisser par les ravins jusqu'aux rivières d'où ils étaient acheminés par flottage vers les ateliers de fabrication de poteries pour le chauffage des fours, les branches de pins étaient distillées en vase clos.

Les résiniers utilisaient deux urnes de 65cm à 105cm de hauteur, de 20cm à la base et de 55cm à 90cm d'ouverture au sommet. Urnes tronc-coniques donc semblables à de classiques vases à fleurs de grandes dimensions. L'urne du bas était enfouie dans le sol ne dépassant que de quelques 5 cm. L'urne du haut lui était superposée, ouverture contre ouverture, les deux urnes étaient séparées par une claie de branchages qui jouaient le rôle de trémie. Après que l'urne du haut qui comportait un orifice pour l'échappement des gaz de combustion aient été garnie de branchages, les résiniers procédaient au colmatage pae un joint d'argile des deux urnes pour éviter les déperditions de chaleur. Un foyer ou "brulade" était alors entretenu tout autour de l'urne du haut jusqu'à de que sous l'effet de la chaleur les vapeurs de résine descendent dans l'urne du bas où elles se condensaient après avoir passés au crible du tamis qui retenaient une parie des impuretés. Chaque opération demandait environ 1h 30. L'eau plus légère que la poix s'évacuait par une ouverture latérale.

La poix des Causses était acheminée vers les ports de Sète et de Narbonne où elle servait au calfatage des bateaux. D'autres usages en sont connus : pour l'éclairage et les luminaires mais également à des fins médicamenteuses grâce aux propriétés thérapeutiques de la fleur de résine.

Des sites de distillation sont encore visibles sur les Causses car les "brulades" répétées ont rendu les sols incultes et la terre brulée a conservé une couleur noirâtre. Certains de ses sites renferment encore des urnes et des restes de poix vestiges d'un lointain passé.

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Georges FABRE 1844 - 1911

Georges FABRE né le 6 Juin 1844 d'un père lozérien sortit major de l'école polytechnique en 1866 et sortit premier de l'école forestière de Nancy en 1868. Bien que pouvant prétendre à un grand choix de postes, il étonna en sollicitant en Lozère l'un des moins envié, celui de garde général à Mende ou il demeura jusque en 1875.

C'est à la tête du service des reboisements du Gard, après avoir été chargé du cantonnement de Mende qu'il décide de se consacrer à l'œuvre gigantesque dont on lui est aujourd'hui redevable.

Au milieu du XIX e siècle, dans ces vallées blotties au pied de l'Aigoual, de terribles crues et des tonnes de pierres roulées par les flots emportent et ruinent filatures et moulins. Un cataclysme dont les hommes sont en partie responsables pour avoir totalement détruit la forêt qui retenait les terres du massif. Face à ces désastres successifs, le service des reboisements songe à créer sur la montagne de l'Aigoual un vaste massif protecteur constitué de forêts domaniales : la montagne était alors pelée, râpée par les vents et les pluies, dénudée par le pacage inconsidéré, la pratique de l'écobuage, l'alimentation en bois des forges et verreries, et c'est à Georges FABRE que nous devons aujourd'hui la somptueuse forêt dominée par la station météorologique dont il fut le principal créateur.

Son premier combat sera de convaincre les gens d'ici de participer à l'œuvre de reboisement. Les achats et expropriations de terrains vont commencer en 1875. Les forestiers parviendront ainsi à prendre le contrôle des 15000 hectares de terres domaniales de l'Aigoual et du Lingas. C'est autour de ces << noyaux durs >>, interdits de parcours aux troupeaux, et peu à peu reboisés, que l'administration constituera ses périmètres, achetant progressivement les petites propriétés paysannes voisines dont la survie était devenue impossible, n'ayant plus assez de terres pour faire paître les troupeaux. Rares furent les propriétaires qui refusèrent de vendre, la crise du système agraire traditionnel favorisant la déprise agricole.

C'est ainsi que Georges FABRE, rêvant de rendre à son pays sa parure d'antan, lancera le projet à partir de 1880, d'une station expérimentale de météorologie forestière sur l'Aigoual. Il fallut 7 ans, de 1887 à 1893, à raison de 70 jours de travail par an pour construire forteresse, sous la direction de Météo-France.

Georges FABRE avait trouvé sa voie. Forestier par vocation, montagnard par hérédité, discret par caractère, il préférait le terrain au bureau où il se montrait un travailleur infatigable. D'esprit très ouvert, ses connaissances dépassaient largement le domaine forestier. Il était fervent géologue, économiste consommé et géographe des mieux informés pour déterminer les limites rationnelles de reboisement.

Pour le conseiller en matière de reboisement, il fera venir Charles Flahaut (1852-1935), professeur de botanique à Montpellier. Avec lui il crée autour des maisons forestières, une dizaine d'arborétums, sur lesquels ils expérimentent des plantations d'essences << exotiques >> sur des sols de nature variée, à des altitudes et des expositions différentes. Nommé conservateur à Nimes en 1900, Georges FABRE y demeure jus qu'à sa retraite en 1909. Le forestier aura finalement l'adhésion des Cévenols mais pas celle de l'administration. Et mourra de "chagrin" loin des honneurs qu'il méritait. Il sera d'ailleurs limogé en 1908, avant d'être réhabilité puis unanimement admiré.

Georges FABRE s'éteint à Nimes le 21 Mai 1911, laissant derrière lui, avec l'Aigoual, une nouvelle forêt de plus de 10000 hectares.

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Louis ARMAND 1854 - 1921

Louis ARMAND est né le 23 août 1854 dans le hameau de Parrache à Vabre (Aveyron), ce qui lui vaudra d'être amicalement surnommé << Parrache >> par de nombreux Roziérains. Louis ARMAND fut placé comme apprenti chez un forgeron du Rozier où il établit son atelier. Il épousa Irma GIRARD en 1894 et eurent une fille Louise qui se maria avec Henri Laumière, employé des chemins de fer, lesquels s'établirent aux Ajustons en Lozère où Irma exerça la fonction de garde-barrière.

Louis ARMAND et son épouse Irma demeurèrent au Rozier jusqu'au décès de Louis, le 23 janvier 1921, à l'âge de 67 ans.

Louis ARMAND intéressé pour les mystères de l'univers souterrain fit la connaissance de Édouard-Alfred MARTEL, qui fut l'un des découvreurs des Grands Causses, et dont, en sa qualité de serrurier, il réparait souvent le matériel. Ce fut lui qui signala l'existence de l'aven qui porte son nom à Édouard-Alfred MARTEL : L'AVEN ARMAND sur le Causse Mejean et qui allait devenir ainsi l'un de ses bras droits dans ses exploration caussenardes et autres massifs calcaires. Insigne honneur au service de MARTEL, considéré à juste titre comme le père de la spéléologie, mais dont l'aura amplement mérité masqua parfois l'apport déterminant de ses compagnons et en premier lieu de Louis Armand.

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